Trois fois n’est pas coutume, voilà la suite de votre super feuilleton sur la mode durable du Lun…rdi !
La semaine dernière on a abordé le sujet des achats d’occasion en boutique, on continue avec des alternatives plus connectées comme l’achat d’occasion en ligne !
Si vous ne les utilisez peut-être pas encore, vous avez certainement déjà entendu parler des deux plateformes de seconde-main en ligne les plus connues : @vinted et @leboncoin
Le principe est le même : des particuliers mettent en vente leurs vêtements (entre autres), à des prix très attractifs.
Les points positifs : on peut y trouver des articles vraiment pas chers, il y a un choix incroyable et si on cherche quelque chose en particulier (des doc marten’s en taille 37 et de couleur jaune par exemple… ) on peut facilement le trouver.
En plus, on peut organiser des remises en main propre.
Les points négatifs : les vêtements peuvent provenir de toute l’Europe, il faut penser à vérifier la localisation des produits ou à sélectionner des villes proches de chez soi pendant la recherche si on ne veut pas anéantir tout notre effort de réduction carbone.
D’autre part, on ne peut bien évidemment pas essayer les articles, ce qui mène de temps en temps à des achats qui tombent à l’eau : pour éviter ces échecs, pensez à scruter de près toutes les photos, demander des précisions au vendeur sur la matière, l’état, etc.
Il existe aussi des sites professionnels qui proposent des vêtements de seconde main pour des prix plus élevés et des distances parcourues plus longues mais qui peuvent dépanner occasionnellement (le coin vintage du marketplace d’asos, vestiaire collective, collectifsvintage).
Et si vous n’êtes pas prêt à vous transformer en expert à la loupe du seconde-main, vous pouvez laisser des professional chineuses faire le « sale boulot » pour vous : @petitechineuse , @jiraichinerpourvous par exemple vous proposent des pièces chinées sélectionnées et bien présentées : plus qu’à choisir !